Novembre


"Le 11 novembre ,de grand matin ,l'air frais répandu à l'intérieur du Nautilus m'apprit que nous étions revenus à la surface de l'Océan  "

Le Nautilus est dans l'océan Indien et rencontre un banc de coraux. Le Capitaine Nemo donne l'ordre de plonger et de naviguer sous les coraux. Le Professeur Aronnax, Conseil et Ned Land assistent à la beauté des fonds marins, observant les différentes espèces de poissons, d'éponges et de coraux. Cependant, le Nautilus devient piégé dans un massif corallien et commence à subir des dommages. Les efforts pour se libérer sont infructueux, mais finalement, avec l'aide de requins attirés par les débris, le Nautilus réussit à s'échapper. Le Capitaine Nemo est furieux de la perte de temps et des dommages causés au sous-marin, et il refuse de permettre à l'équipage de récupérer les débris qui flottent à la surface.

On comprend que le sous-marin fait surface afin de se réapprovisionner en oxygène. Aronnax monte sur la plate-forme et constate que la mer est grise et calme et que le temps est couvert. Durant cinq jour le Nautilus ne bouge pas et le second de Nemo monte chaque matin sur la plate forme pour dire “nautron respoc lorni virch”


Le 16 novembre,rentré dans ma chambre avec Ned et Conveil, je trouvai sur la table un billet à mon adresse”


Ce billet contient une invitation du capitaine Nemo au professeur Aronnax pour une partie de chasse qui aura lieu le 17 novembre dans les forêts de l'île de Crespo, invite aussi ses compagnons,

Ned Land et Conveil .Les deux compagnons d’Aronnax sont excité à l’idée d’aller chasser et de  manger de la viande.

Aronnax décide de trouver la position de cet île : 32°40’ de latitude nord et 167°50’ de longitude ouest. Il trouve alors un îlot qui fut reconnue en 1801 par le capitaine Crespo .

Après le souper servi par le stewart, il s'endort.


17 novembre, à mon réveil,je sentis que le Nautilus était absolument immobile. Je m'habillai lestement, et j'entrai dans le grand salon. Le capitaine Nemo était là. Il m’attendait, se leva,salua et me demande s’il me convenait de l’accompagner


.Le professeur Aronnax et le capitaine Nemo s’apprête à aller chasser. Mais Aronnax apprend qu’il s’agit d’une forêt sous-marine et non pas d’une forêt basique. Il sont sur le point d’aller chasser fusil à la main dans une forêt sous-marine. Évidemment, Aronnax le prend pour un fou. Mais c’est pendant le déjeuner que le capitaine Nemo explique qu’à l’aide d’un vêtement imperméable,d’une capsule de métal sur la tête et de bonbonnes de gaz inventé par Aronnax et perfectionné par Nemo, on peut facilement respirer sous l’eau de 9 à 10h. En ce qui concerne le fusil de chasse, ce n’est pas de la poudre à canon mais de l’air à haute pression. Ce ne sont pas des balles ordinaires mais de petites capsules de verre recouvert d’acier et de plomb. Une fois le déjeuner terminé, ils se dirigent à l’arrière du Nautilus où Ned et Conseil les rejoignent, mais Ned ne les suit pas car il pensait aller chasser du gibier. Une fois équipé, ils vont dans une pièce pour plonger dans la mer. Cette pièce se remplit d’eau par un robinet et une porte s’ouvre pour avoir accès à la mer. Leurs pieds touchent enfin le fond de la mer et commencent à marcher. Après un quart d’heure de marche, ils arrivent à la végétation sous-marine dont le sol est fait de coquilles siliceuses ou de calcaire. Puis ils parcourent une prairie d’algues, plantes pélagiennes que les eaux n’avaient pas encore arrachées, et dont la végétation était fougueuse. Et c’est à la profondeur de 300 pieds qu’ils arrivent à cette fameuse forêt sous-marine. Cette forêt est composée de grandes plantes arborescentes. Après des heures de marche, un mur de rochers se dresse devant eux. C’était les acores de l’île de Crespo. Ils font demi- tour et tuent une loutre de mer et albatros c’est un oiseau pélagien. Après des dizaines de minutes de marche ils aperçoivent le Nautilus mais des requins on faillit les apercevoir. Une fois les requins partis, ils reprennent le chemin et remontent à bord du Nautilus, dans la cellule ou l’eau se vide en quelques instant et regagne les vestiaires et vont dormir.



18 Novembre : « Le lendemain matin, 18 novembre, j’étais parfaitement remis de mes fatigues de la veille, et je montai sur la plate-forme, au moment où le second du Nautilus prononçait sa phrase quotidienne. Il me vint alors à l’esprit qu’elle se rapportait à l’état de la mer, ou plutôt qu’elle signifiait : « Nous n’avons rien en vue. »

Et en effet, l’Océan était désert. Pas une voile à l’horizon. Les hauteurs de l’île Crespo avaient disparu pendant la nuit. La mer, absorbant les couleurs du prisme, à l’exception des rayons bleus, réfléchissait ceux-ci dans toutes les directions et revêtait une admirable teinte d’indigo. Une moire, à larges raies, se dessinait régulièrement sur les flots onduleux. » 


La nuit passé le professeur Aronnax et le capitaine Nemo monte sur la plate-forme du Nautilus afin d’observer l’océan qui les entoure, puis une vingtaine de matelots monte aussi sur la plate-forme pour retirer les filets qui avaient été mis à la traîne durant toute la nuit. Ces matelots ont été Irlandais, Français, Slaves et un Grec ou Candiote. Ce jour là les filets avaient ramené des lophies, commerçons noirs, tétrodons-croissants, lamproies olivâtres, des macrorhinques, notoptères écailleux, notoptères écailleux, des gobies et plein d’autres espèces. La pêche est finie et le professeur contre regagné sa chambre mais le capitaine l’interpelle et lui dit « Voyez cet océan, monsieur le professeur, n’est-il pas doué d’une vie réelle ? N’a-t-il pas ses colères et ses tendresses ? Hier, il s’est endormi comme nous, et le voilà qui se réveille après une nuit paisible ! ». Comme s' il continuait une conversation déjà commencée.

« Regardez, il s’éveille sous les caresses du soleil ! Il va revivre son existence diurne ! C’est une intéressante étude que de suivre le jeu de son organisme. Il possède un pouls, des artères, il a ses spasmes, et je donne raison à ce savant Maury, qui a découvert en lui une circulation aussi réelle que la circulation sanguine chez les animaux. »


Le capitaine se parlait plutôt à lui-même.

« …..Vous verrez, aux pôles, les conséquences de ce phénomène, et vous comprendrez pourquoi, par cette loi de la prévoyante nature, la la congélation ne peut jamais se produire qu’à la surface des eaux ! »

Aronnax se demande s' il compte les amener au pôle. Après une longue conversation, le capitaine demande au professeur la profondeur de l’océan. Et les profondeurs sont les suivantes : huit mille deux cents mètres dans l’Atlantique nord, deux mille cinq cents mètres dans la Méditerranée, dans l’Atlantique sud, près du trente-cinquième degré, et elles ont donné douze mille mètres, quatorze mille quatre-vingt-onze mètres, et quinze mille cent quarante-neuf mètres. Ce qui fait environ sept kilomètres environ. Le capitaine Nemo veut montrer les vrais profondeur de l’océan au professeur. Nemo et Aronnax entrent dans le Nautilus. Pendant des jours le capitaine ne se montre pas trop et le professeur devait relever exactement la route du Nautilus.


26 novembre :Le 26 novembre le professeur Aronnax, un célèbre biologiste, est invité à une soirée chez le ministre de la Marine, où il rencontre un homme mystérieux, Monsieur Smith, qui l'invite à une chasse sous-marine. Aronnax, accompagné de son fidèle domestique Conseil et du harponneur canadien Ned Land, accepte l'invitation et embarque sur l'Abraham Lincoln, un navire de guerre américain. Après plusieurs jours de recherche, ils trouvent leur proie, un monstre marin géant, mais lorsqu'ils tentent de l'harponner, ils découvrent que c'est en réalité un sous-marin, le Nautilus, commandé par le mystérieux Capitaine Nemo. Les trois hommes sont capturés et prisonniers à bord du Nautilus, débutant ainsi leur aventure sous-marine.

à trois heures du matin le Nautilus franchit le tropique du Cancer par 172° de longitude


27 novembre : il passa en vue des Sandwich, où l’illustre Cook trouva la mort, le 14 février 1779. Ils ont parcouru quatre mille huit cent soixante lieues depuis le point de départ « Le matin, lorsque j’arrivai sur la plate-forme, j’aperçus, à deux milles sous le vent, Haouaï, la plus considérable des sept îles qui forment cet archipel. Je distinguais nettement sa lisière cultivée, les diverses chaînes de montagnes qui courent parallèlement à la côte, et ses volcans que domine le Mouna-Rea, élevé de cinq mille mètres au-dessus du niveau de la mer. Entre autres échantillons de ces parages, les filets rapportèrent des flabellaires pavonées, polypes comprimés de forme gracieuse, et qui sont particuliers à cette partie de l’Océan. » Le Nautilus se maintient au sud-est.